Dans le contexte de la crise son développement mondiale de la démocratie, l'axe autoritaire du mal s'unit et commence sa course à travers le monde.
Ces processus et tendances ignorés au début du nouveau millénaire ont créé des conditions idéales pour la « revanche autoritaire ». L’axe du mal se rapproche : la Russie, la Chine, l’Iran sèment/ apportent le chaos dans le monde pour le diviser en sphères d’influence exclusives et redessiner la carte politique du monde.
Le monde libre n'a jamais été aussi proche de la « fin de l'histoire ». Seulement, cette « fin de l'histoire » n’est pas, au sens de Fukuyama, la victoire de la démocratie et de la liberté, mais bien le contraire.
Soit aujourd’hui les vraies démocraties s’unissent et quittent la zone du « confort du consommateur » pour affronter « l’axe du mal » autoritaire, soit demain les démocraties mondiales seront poussées au-delà des limites de l’histoire mondiale.
L’Europe et le monde démocratique doivent devenir plus forts. La liberté doit être armée et capable de se défendre. Le journalisme mondial et la science humanitaire ne peuvent rester à l'écart des processus en cours. Les représentants conscients de ces sphères sociales ont le devoir « sacré » de transmettre aux masses le sens des événements qui se produisent actuellement.
Nous, la communauté Resurgam, avons pour objectif de rassembler des représentants du journalisme, de la science et des leaders d'opinion publique de différentes parties du monde afin de transmettre des informations sur les risques de l'état dans lequel nous nous trouvons actuellement.
Notre tâche est d’aider le monde libre à sortir de sa zone de confort et à affronter ensemble ce que l’avenir lui réserve.
Tout comme les cités-états ( les polis ) de la Grèce antique rejetait les contradictions pour arrêter l’assaut des Perses, nous devons aujourd’hui rejeter les différences pour arrêter l’assaut de l’autoritarisme et la violence qu’il nous entraîne.
Qui jouent alors un rôle décisif à cette époque-là - c’étaient les envoyés philosophes, qui sensibilisent les citoyens et les dirigeants des différentes polis aux risques du refus de s'unir contre les Perses. Nous devons faire de même.
La planète ne s'arrêtera pas en cas de défaite, mais la question est : « Aimeriez-vous vivre dans un monde où le droit à la force, à la répression et à la destruction serait la base de l'ordre mondial ?
Nous — non! C’est pourquoi nous opérons déjà dans différents coins du monde libre.